le musée Soulages
C'était le but premier de mon déplacement.
C'est une question de régionalisme je pense, les oeuvres de Pierre Soulages, j'en ai vu un paquet.
Dès le XXème siècle, au pavillon du musée Fabre à Montpellier.
Puis au tout début du XXIème, au musée des Abattoirs à Toulouse.
Bien sûr, l'Abbatiale de Conques et ses vitraux.
Puis, une fois le musée Fabre de Montpellier rénové, il fallut y retourner.
En surprise, au détour d'un escalier du musée de l'Ermitage, à St Petersbourg.
Et maintenant, l'ultime. Dans cet étrange vaisseau métallique au service du maître.
Pourquoi Soulages ? Oui, des grosses balafres noires faites avec un gros pinceau. Mais non.
L'outrenoir. KoiKesse ?
Comme tu le sais, le noir absorbe la lumière.
Mais là, non. Les ingrédients de la peinture noire (je n'ai pas cherché à savoir, une espèce de résine) rendent la peinture brillante, laquelle renvoie la lumière. C'est presque magique, on se promène devant les tableaux et la lumière nous suit sur les rayures de peinture. C'est juste Ouah !
* * * * *
Une salle est destinée aux expositions temporaire, cette fois-là c'était Jesus Rafael Soto. Une chouette découverte. Ca s'appelle de l'art cinétique.